Pruning trees is a crucial part of tree care and maintenance, and knowing when to prune is essential for the health and longevity of your trees. Improper pruning can lead to weak or diseased trees. In severe occasions, improper pruning can even result in the need for “abattage arbre” or tree removal.
Today, we will explore the different factors to consider when deciding when to prune trees and provide valuable tips to ensure that your trees are pruned at the right time and in the right way.
Tree cankers
This usually occurs if a spot of the bark of your tree is completely missing or is sunken in. Tree cankers could indicate decay or disease and result in total rotting when pruning isn’t done.
Dead Leader Branch
A leader branch is one of the significant branches at your tree’s stem. Depending on the type of tree, there can be one or many leader branches. If a tree has a lot of leader branches, they will most likely compete with each other for dominance. Thankfully you can keep your tree healthy and make it more viable by pruning your tree property to choose a dominant leader branch.
Deadwood
One of the indicators that your tree should be pruned is when it has too much deadwood. Like broken branches, massive deadwood sections can imply that your tree is dying, which can be dangerous. If you don’t prune your trees, they will start to decay and will eventually require to be eliminated.
Branch Density
Excessive greenery is one of the most apparent signs that your tree needs to be pruned. The rule of thumb for this is once a tree is extremely thick that you cannot see through it; then you should consider trimming it back. Density may be dangerous since the branches usually cause damage and catch winds.
Broken branches
Any limp or broken tree branch that exposes your tree’s insides is a definite indicator that damage has happened. This type of injury is commonly due to heavy wind or snow, which can be dangerous when you fail to attend to this tree issue immediately. It’s highly suggested to always inspect your trees after a storm and contact a tree expert to have your trees pruned right away.
If you don’t want to cut down your tree due to negligence, you can contact us to avail of our tree service today.
Crossing Branches
When you fail to maintain a tree, its branches will cross. Once they rub and touch against each other, there’s a tendency for the bark to be damaged, which causes the branch interior to be exposed. Eventually, this results in the decaying of a branch that will spread to the entire tree, especially if you won’t resolve and have it checked by the arborists immediately.
Conclusion
In conclusion, pruning trees is essential for tree care and maintenance. Knowing when to prune is crucial to ensure that your trees remain healthy and strong and to prevent the need for costly and potentially dangerous tree removal.
Lorsque l’automne arrive, il est temps de nettoyer le foyer et d’inspecter la cheminée. Si ce n’est pas déjà fait, c’est également le moment de faire votre réserve de bois de chauffage pour l’hiver qui prendra bientôt place. Prenez quelques minutes pour évaluer combien de bois de l’année précédente qu’il vous reste afin de décider quelle quantité vous devrez acheter. Si vous êtes comme la plupart des gens au sein de la population, il y a de bonnes chances que vous possédiez peu de connaissance pour choisir avec soin votre bois de chauffage. C’est pourquoi dans cet article nous allons vous donner quelques trucs pour vous aider dans ce domaine.
Plus le bois est sec mieux c’est
Plus votre bois est sec mieux c’est. Il s’agit de la règle la plus importante à respecter. Le bois humide est chargée d’eau et ne brûle pas correctement. L’énergie produite par le feu devra d’abord dissiper l’humidité avant de dégager de la chaleur. Ceci représente un grand gaspillage d’énergie. De plus, la combustion du bois humide produit une grande quantité de créosote. L’accumulation de créosote dans la cheminée réduit l’efficacité de votre système de chauffage en plus d’augmenter les chances d’avoir un feu de cheminée et de polluer davantage que la combustion du bois sec.
Comment choisir son bois de chauffage
Lorsque viens le temps d’acheter votre bois de chauffage, il y a quelques règles à suivre afin de vous assurer de vous procurer un produit de qualité. En voici quelques-unes:
– Recherchez du bois donc l’extrémité est grisâtre. Cela signifie que le bois est plus vieux donc en général plus sec.
– Frappez quelques bûches ensemble. Si ça sonne creux, c’est un bon signe.
-Observez les extrémités des bûches. Si elles sont fendues, cela signifie qu’il est sec.
– Choisissez les morceaux dont l’écorce est manquante ou qui s’arrachent. L’écorce a besoin d’humidité pour adhérer au bois.
-Demander à votre fournisseur à quel moment le bois a été abattu. Il est préférable d’acheter du bois qui a été abattu durant l’hiver et donc l’abattage a eu lieu au moins 6 mois auparavant.
-Choisissez des essences de bois dur tel que le chêne, le cerisier, l’érable et le frêne car les essences de bois dur produisent plus de chaleur que le bois mou.
Entreposer le bois correctement
Assurez-vous que l’endroit où vous allez entreposer votre bois de chauffage est un endroit où l’air peut circuler librement. Si le bois est cordé à l’extérieur, recouvrez seulement le dessus de la corde afin que l’humidité puisse s’échapper sur les côtés.
Assurez-vous qu’on va bien livré la quantité inscrite sur votre facture
Le bois de chauffage vendu par les distributeurs est vendu au volume sous forme d’une mesure appelée corde. Une corde de bois mesure 8 pieds de long x 4 pieds de haut x 16 pouces de profond. En fonction de la grandeur de votre maison, vous allez devoir déterminer de combien de cordes vous avez avoir besoin. Si vous chauffez seulement au bois, environs 10 cordes seront nécessaire pour chauffer une résidence de 1000 pieds carré avec un seul étage un sous-sol.
Les arbres sont magnifiques. Ils ajoutent de la vie à une propriété en plus de l’embellir. Les arbres fournissent également de l’ombre lors des journées chaudes. Certaines études ont même démontré que vivre entouré d’arbres peut vous aider à vivre plus longtemps. En raison de l’attrait qu’ils ont, il est très décevant de devoir en couper un. Cependant malgré leurs avantages, les arbres peuvent être une source d’accidents s’ils ne sont pas en excellente santé. C’est pourquoi vous devez être attentif aux signes suivants qui indiquent qu’un arbre doit être abattu avant qu’il ne représente un danger pour vous et votre propriété.
Branches qui surplombent votre maison
L’un des signes les plus évidents qu’un arbre doit être élagué ou abattu est lorsqu’il y a des branches qui surplombent votre propriété. Si ces branches venaient à se briser lors d’une tempête, elles pourraient tomber sur votre propriété et l’endommager sérieusement. La réparation d’un toit peut s’avérer une opération très coûteuse. Cependant, notez que tous les arbres dont les branches surplombent le toit ne doivent pas nécessairement être abattus. Si les branches sont petites, il est possible de les couper et de sauver l’arbre. En revanche, si les grosses branches ou la partie supérieure du tronc sont penchées vers un bâtiment, l’arbre doit être coupé.
Arbre malade
Il est dangereux d’avoir des arbres malades sur sa propriété. Un arbre qui présente des signes de maladie doit être traité ou abattu pour éviter qu’il ne tombe sur quelqu’un. Lorsque vous examinez l’état de santé d’un arbre, il y a quelques signes qui indiquent qu’il est malade. La présence de feuilles jaunes ou décolorées, sans nervures et avec des nodules d’apparence bizarre est un de ces signes. Si vous remarquez depuis quelques temps que des branches cassées se retrouvent au sol sans raison apparente, et bien il s’agit d’un autre signe qu’il y a quelque chose qui cloche. Tout signe de pourriture au niveau du tronc, des branches ou des racines est également un signe que l’arbre a un problème. N’entreprenez jamais d’abattage un arbre si vous ne disposez pas des outils et de l’expertise nécessaires pour le faire. Consultez un spécialiste en entretien d’arbres membre du SIAQ avant de procéder à l’abattage d’arbre afin qu’il puisse examiner l’arbre et vous conseiller sur la meilleure marche à suivre.
Présence de champignon
La présence de champignon est généralement une indication qu’un arbre n’est pas en bonne santé. Cela montre que certaines parties de l’arbre sont en train de pourrir et qu’il n’est peut-être pas prudent de laisser l’arbre sur la propriété. Diverses maladies des arbres peuvent être attribuées à la croissance de champignons. Si les dommages au tronc et aux racines sont importants, le meilleur choix est de se débarrasser de l’arbre afin qu’il ne cause pas de dommages à la propriété.
Racines envahissantes
Les arbres ont des racines qui poussent à la fois verticalement et horizontalement dans le sol. Les racines horizontales peuvent éventuellement causer des dommages à votre propriété. Par exemple, elles peuvent se développer dans les tuyaux de plomberie ou la conduite d’égout par exemple. Les racines envahissantes peuvent provoquer des fuites de plomberie, des blocages et une panoplie d’autres problèmes dans votre système de plomberie et d’égouts.
Si les racines sortent du sol, elles rendent difficile la tonte de la pelouse. Ces racines sont également dangereuses car quelqu’un peut y trébucher Si les racines envahissantes ne peuvent pas être éliminées sans nuire à la stabilité de l’arbre, il peut être judicieux de couper l’arbre.
Essence d’arbre mal adaptée à l’environnement
Tous les arbres ne sont pas destinés à pousser dans toutes les régions. Certains arbres poussent bien dans les régions qui reçoivent beaucoup de soleil, tandis que d’autres prospèrent dans les régions froides. Si vous choisissez un arbre qui n’est pas destiné à votre type de climat, il ne poussera pas. Un tel arbre connaîtra une croissance stagnante, et il n’ajoutera pas de valeur à votre propriété. Dans un tel cas, l’abattre s’avère être la seule solution à envisager.
N’entreprenez jamais d’abattage un arbre si vous ne disposez pas des outils et de l’expertise nécessaires pour le faire. Consultez un spécialiste en entretien d’arbres afin qu’il puisse examiner l’arbre et vous conseiller sur la meilleure marche à suivre.
Les arbres sont essentiels dans nos vies humaines, en raison notamment des nombreux bienfaits qu’ils nous procurent. Or, ils ont besoin de soins destinés à préserver leur santé mais également à ce qu’ils puissent nous offrir les qualités esthétiques recherchées. Cependant, il existe diverses techniques, notamment tailler ou élaguer.
Tailler est une coupe de branches qui a pour but de prodiguer une forme prédéterminée, et ce, sans nuire au développement arboricole. Élaguer consiste à retrancher des branches mortes ou rendues inutiles ou nuisibles à la croissance d’un spécimen.
La taille s’avère un véritable art
Savez-vous que la taille des arbres est un savoir-faire transmis de génération en génération, et parfois depuis de nombreux siècles? Dans les années 1830 et 1914, un essor important s’est produit sur ce plan. Avec l’arrivée des outils spécialisés, ces techniques ont cependant beaucoup évolué depuis. La connaissance des plantes elle-même a participé à modifier les façons de faire. De nos jours, les connaissances et savoir-faire concernés font l’objet de formations. Il faut notamment savoir adapter la taille à l’essence de l’arbre ainsi qu’à son stade de développement. Sinon, des résultats désastreux peuvent s’ensuivre.
Il existe une taille de formation qui s’adresse aux jeunes arbres et qui se déroule sur plusieurs années. Elle vise à ce qu’ils puissent former correctement leur tronc et à contrôler la formation des grands axes structurels de leur stade adulte. Il y a alors sélection des branches à conserver, laquelle peut se faire quand l’arbre a dix ou vingt ans, par exemple, selon l’essence. Il s’agit d’un véritable art du contrôle méthodique de la morphologie. La technique recherche également un équilibre structurel et une forme architecturée de la couronne de l’arbre (l’ensemble de ses branches). Au besoin, la forme du spécimen est modifiée afin de correspondre aux attentes.
L’élagage: un jeu d’équilibriste entre les besoins humains et la santé arboricole
L’élagage peut être utilisé dans le cadre d’une taille de formation. Cependant, la technique se pratique aussi de manière autonome.
Il se passe dans la nature un phénomène important pour les arbres: les branches mortes finissent par se détacher d’elles-mêmes. Les arbres en deviennent plus vigoureux. En ville, les spécimens arboricoles n’évoluent pas en disposition serrée comme en forêt. Au contraire, ils bénéficient de beaucoup d’espace. Or, l’élagage à l’aide d’outils spécialisés, dit élagage artificiel, supplée en quelque sorte à ce phénomène naturel et essentiel. Il s’agit en effet de supprimer les branches mortes ou vivantes devenues inutiles: un véritable travail d’éclaircissement. Ainsi, les spécimens gagnent en solidité. Cependant, les gestes doivent être mesurés pour s’assurer qu’un arbre supporte bien l’intervention. Comme quoi l’optimal consiste à réserver cette technique à des arboriculteurs expérimentés.
Faire faire la taille et l’élagage de ses arbres
Vos arbres ont un réel besoin d’être couverts d’attentions. Ce sont des êtres vivants après tout. Aussi, procurez-les-leur en recourant à des arboriculteurs d’expérience. Il s’agit d’une valeur sûre qui vous évitera des conséquences regrettables, et parfois irrémédiables et coûteuses, attribuables à un manque de savoir et d’expérience.
La nature a un impact positif reconnu de longue date sur la santé mentale et le bien-être des personnes. Elle aide notamment à récupérer d’un stress psychologique et contribue même à nous rendre plus résistants face aux épreuves. De plus, elle incite à sortir et même à demeurer à l’extérieur plus longtemps, ce qui permet un apport accru en vitamine D. La présence des arbres purifie également l’air que nous respirons. Il n’est alors pas étonnant que nous cherchions à reproduire à plus petite échelle la nature dans nos cours.
Les arbres sont des êtres vivants et non des objets
Si le bien-être animal bénéficie de nos jours de plus de place, considérer l’arbre pour l’être vivant qu’il est, plutôt que comme un objet, n’est pas aussi aisé. Abattre un arbre ne provoque pas toujours l’émoi qu’il devrait déclencher. Pourtant, les arbres sont dotés d’intelligence, comme le soutiennent des biologistes. Ils peuvent résoudre des problèmes liés à leur alimentation et ils communiquent chimiquement entre eux par les racines pour s’entraider.
La réglementation urbaine pour limiter les actions faites aux arbres est souvent encore perçue comme une contrainte plutôt que le gros bons sens.
Les bienfaits des arbres de plus en plus reconnus
Reste que, de nos jours, nous sommes beaucoup plus attentifs à prendre soin des arbres. L’éveil des consciences à propos des changements climatiques y est probablement pour beaucoup. Des études ont également confirmé les impacts des arbres sur la santé humaine. En outre, nous sommes de plus en plus au fait des nombreux services que fournissent les arbres.
Ces derniers méritent notre respect et ils ne doivent pas subir des traitements qui leur manquent de respect. Aussi, de nos jours, certaines pratiques sont soit purement interdites, réservées à des urgences ou à des nécessités, ou tout simplement découragées et en déclin.
L’émondage mérite d’être appliqué avec parcimonie
L’émondage compte au rang de pratiques qui devraient mériter une révision. Cette technique ressemble à un élagage du point de vue des gestes effectués. Mais l’expression devrait être réservée à des élagages qualifiables de trop sévères. Par exemple, couper de grosses branches, retrancher une proportion trop élevée du houppier ou étêter.
Par le passé, en agriculture ou en foresterie, l’étêtage était déjà pratiqué, et ce, pour stimuler la production et donc être en mesure de fournir plus de bois d’œuvre, de chauffage ou de fourrage. Retrancher sans considérations ou démesurément produit des blessures plus sévères qu’un élagage ou une taille en douceur, et alors de l’humidité peut s’infiltrer et des maladies peuvent s’inviter.
À la suite d’un émondage, certaines essences voient leur tronc se fragiliser de manière importante à sa base. En plus, le résultat n’a pas l’air naturel et l’apparence du grand végétal est disgracieuse.
Au vu du bien-être végétal, le savoir des arboriculteurs prend toute son importance
L’émondage uniquement à des fins lucratives ou pour satisfaire un désir, au détriment de la santé de l’arbre ou de son esthétique, ne devrait plus avoir cours. De nos jours, ces pratiques tendent à disparaître. Peut-être est-ce un effet naturel de certaines réglementations qui limitent la proportion des sections taillées entre autres mesures? Qui sait. Reste que c’est la disposition à adopter. L’émondage devrait se limiter à des situations d’urgence ou pour éviter un abattage qui serait incontournable autrement.
Heureusement, les arboriculteurs qui œuvrent sur des propriétés résidentielles, commerciales ou institutionnelles respectent de plus en plus le bien-être végétal. Recourir à leur savoir-faire professionnel devient d’autant plus important lorsque nous nous soucions de ne pas causer de torts graves ou irréversibles aux spécimens arboricoles, et cela, par ignorance ou maladresse.
Certains arbres sont remarquables. Ce qualificatif est choisi parce que ces spécimens arboricoles fascinent, car ils sont alors imposants, gigantesques ou majestueux. La Fédération des producteurs forestiers du Québec en recense des milliers. Certains de ces arbres peuvent être âgés, et alors, ils sont en plus riches en histoire. Au Québec, le peuplier deltoïde ou le baumier, le thuya occidental, l’orme liège, l’érable noir, le pin blanc ou le bouleau à papier n’en sont que quelques exemples. La remarquabilité d’arbres est valorisée au point de faire l’objet d’un pointage selon des règles internationales reconnues.
Forcément, advenant que des circonstances l’imposent, l’abattage arbre serait crève-cœur. D’autant que les arbres fournissent de nombreux services aux êtres vivants.
Ainsi, un arbre constitue un habitat pour de nombreux animaux. Leurs cavités, les poches sous l’écorce, des branches importantes mortes, des fissures, même des coulées de sève ou la pourriture… représentent autant de microhabitats pour plusieurs membres de la faune. Notamment, des oiseaux et des insectes nichent dans leurs cavités.
Les paysages représentent un patrimoine précieux trop peu protégé. La diversité des essences arborées en faisant partie dispense des services écosystémiques (dont la biodiversité) et écologiques (corridors écologiques d’animaux, stockage de carbone, élimination des polluants atmosphériques, filtration d’eau, protection anti-érosion des sols…). Même quand on transforme du bois en mobilier, ce dernier continue de stocker du carbone! Les paysages confèrent également un plaisir accru aux regards, étant de véritables tableaux dépeints à perte de vue.
Voilà qui introduit les services procurés par les arbres aux humains. La présence des grands végétaux en ville participe à la lutte aux îlots de chaleur grâce à leurs propriétés rafraîchissantes. Même morts, ils fournissent du bois de chauffage, permettent de construire des biens à usage quotidien. Leur bois est même récupéré à petite échelle pour être recyclé et traité, inspirant ensuite des pièces uniques artistiques, voire également pratiques, de toute beauté. Ils contribuent en outre à aménager des cadres de vie où il fait bon se rassembler ou se détendre. Fréquenter les sentiers de boisés, contempler des paysages ou passer du temps chez soi dans un aménagement paysager préviennent des maux ou ont des impacts positifs sur la santé, entre autres bienfaits. De plus en plus d’études s’intéressent à caractériser les effets psychologiques, sociaux et physiques positifs des arbres ou de la nature en général.
Nous avons probablement du chemin à parcourir encore avant d’être pleinement conscients de la vastitude des générosités que les arbres nous apportent. Et surtout, pour savoir composer respectueusement avec eux dans nos pratiques humaines, dont l’aménagement d’espaces de vie (villes et propriétés); c’est-à-dire en tenant compte de leur bien-être. Même la grimpe aux arbres encadrée suscite l’attention en termes de protection des végétaux durant cette activité. Nous gagnerons à apprendre à mieux connaître les spécimens arboricoles. Ainsi, ils pratiqueraient entre eux une communication coopérative ou d’entraide par l’intermédiaire de leurs racines. Bien que cette fonction n’ait peut-être pas le caractère mythique ou romanesque que nous voudrions qu’elle revête! Reste que les arbres sont essentiels dans nos vies et nous en prenons de plus en plus conscience.
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